Communiqué concernant le blog du professeur Faurisson
(ajout d'un article du 28 février 1994 : "Les chambres à gaz des pénitenciers américains")
Les chambres à gaz homicides ont bel et bien existé et fonctionné. Le fait est incontestable.
Oui, et c'est Robert Faurisson qui le dit. Mais ces chambres ont existé uniquement dans certaines prisons américaines, jamais dans les camps de concentration allemands.
En 1979, Robert Faurisson s'est rendu au pénitencier de Baltimore (Maryland) afin d'en examiner la chambre à gaz d'exécution des condamnés à mort. Il a interrogé le personnel sur la procédure à suivre pour y tuer un homme au gaz cyanhydrique. Il a pris des photographies et recueilli des documents. Et cela en complément des enquêtes criminalistiques qu'il avait menées en France, notamment auprès du Laboratoire central de la préfecture de police de Paris, et aux Etats-Unis en interrogeant des spécialistes de la question. Sa conclusion est formelle : les récits qu'on a pu nous faire au sujet des prétendus gazages homicides d'Auschwitz ou d'ailleurs sont totalement irrecevables ; ils se heurtent à de radicales impossibilités matérielles. Il est déplorable que, 65 ans après la guerre, certains persistent encore à nous faire croire à l'une des plus révoltantes impostures historiques qui aient été entretenues par une propagande de guerre et de haine.
<http://robertfaurisson.blogspot.com/1994/02/les-chambres-gaz-des-penitenciers.html>
(ajout d'un article du 28 février 1994 : "Les chambres à gaz des pénitenciers américains")
Les chambres à gaz homicides ont bel et bien existé et fonctionné. Le fait est incontestable.
Oui, et c'est Robert Faurisson qui le dit. Mais ces chambres ont existé uniquement dans certaines prisons américaines, jamais dans les camps de concentration allemands.
En 1979, Robert Faurisson s'est rendu au pénitencier de Baltimore (Maryland) afin d'en examiner la chambre à gaz d'exécution des condamnés à mort. Il a interrogé le personnel sur la procédure à suivre pour y tuer un homme au gaz cyanhydrique. Il a pris des photographies et recueilli des documents. Et cela en complément des enquêtes criminalistiques qu'il avait menées en France, notamment auprès du Laboratoire central de la préfecture de police de Paris, et aux Etats-Unis en interrogeant des spécialistes de la question. Sa conclusion est formelle : les récits qu'on a pu nous faire au sujet des prétendus gazages homicides d'Auschwitz ou d'ailleurs sont totalement irrecevables ; ils se heurtent à de radicales impossibilité
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